Cuisine Niçoise
Visitez nice et goûtez la cuisine niçoise ( le pain bagnat )
Partir en vacances à Nice c'est l'occasion de découvrir les spécialités culinaires de la ville.
L'authentique cuisine niçoise est un mélange de saveurs méditerranéennes et provençales. Goutez à la tradition en allant à la rencontre des producteurs locaux et accordez-vous de délicieux moments. Les restaurents de Nice vous fond découvrir les bonnes recettes Niçoises qui sentent bon le soleil et les arômes de sud.....
La pissaladière
Outre la pâte à pain, la pissaladière est surtout composée d'un lit d'oignons qui doivent cuire assez longtemps à feux très doux pour « compoter » (90 min à 2 h 30 de cuisson en fonction de la variété) et en prenant soin d'éviter tout brunissement. La pâte à pain et l'oignon peuvent suffire, mais la vraie pissaladière ne saurait être faite sans pissalat, sorte de pâte ou de crème salée faite à partir de sardines et d'anchois salés, qui ont d'ailleurs donné son nom à la spécialité
Les farcis niçoise
Grands ambassadeurs de la cuisine niçoise à travers le pays, les légumes farcis étaient, avant de devenir une préparation à part entière, une façon astucieuse d’accommoder les restes de daube, de rôti ou de pot-au-feu. Aujourd’hui, la farce peut être simplement faite avec de la chair à saucisse ou bien maison, avec un mélange de viande(s), de pain trempé dans du lait et éventuellement de blettes. On peut aussi rajouter un peu de riz dans la farce mais attention, à Nice, ce n’est que pour les tomates !Cette farce magnifiera ensuite tous les légumes du soleil : aubergines, courgettes, fleurs de poivrons, poivrons, etc… A noter que les petits choux farcis représentent à eux seuls une autre spécialité, pour laquelle on remplit de farce des feuilles de chou frisé que l’on replie afin de reconstituer un petit chou : lou capoun. A Grasse, on utilise un fassumié (sorte de petit filet), pour réaliser au mieux cette opération et constituer lou fassum, variante locale de la recette du chou farci.
Les olives niçoise
L’olive est présente dans la région des Alpes-Maritimes depuis plus de deux millénaires. Les oliveraies multi centenaires et les vestiges de moulins à huile antiques témoignent du passé oléicole de la région. Les phéniciens, les grecs et les romains développent cette culture en premier lieu sur la zone littorale et les collines de la côte, puis leurs successeurs l'étendent à l'intérieur des terres. Après avoir connu une forte régression après la seconde guerre mondiale et les catastrophes climatiques dues aux gelées de 1929 et 1956, l’oléiculture des Alpes-Maritimes s’est structurée et relancée. Une seule variété d’olive règne en maître dans la région niçoise, c’est la “Cailletier” mieux connue sous le nom "d’olive de Nice". Cette variété d’olive est en effet bien adaptée au climat et au terroir maralpins.La région niçoise compte une seule olive sous appellation protégée, l’olive de Nice AOP. Cette olive de grande qualité fait la renommée des 99 communes du département des Alpes-Maritimes qui sont sous cette AOP. Les paysans du pays niçois cultivent à 95% la variété “cailletier”, olive de bouche très fruitée, d’une grande finesse et aux variations de teinte caractéristique de cette espèce allant du vert jaunâtre au brun ou de couleur lie de vin à noir violacé. Cette variation de teinte est caractéristique d’une maturité des fruits hétérogène.Il faut noter que l’olive est un fruit immangeable à l’état brut à cause de son amertume. Le fruit doit subir une
désamérisation plus ou moins poussée selon que l’olive est cueillie verte (en début de mûrissement) ou noire (à maturité). Cette désamérisation peut se faire à l’eau, à la cendre de bois ou au sel, comme le veut la tradition.
désamérisation plus ou moins poussée selon que l’olive est cueillie verte (en début de mûrissement) ou noire (à maturité). Cette désamérisation peut se faire à l’eau, à la cendre de bois ou au sel, comme le veut la tradition.
Les beignets de fleurs de courgettes
Les beinets de fleurs de courgettes sont une spécialité italienne, que l'on retrouve toutefois dans la cuisine provençaledu pays niçois et dans les pays des balkans. Cette recette est faite de fleurs de courgettes que l'on enveloppe de pâte à beignet et que l'on fait frire.
La salade niçoises
La salade niçoise est une spécialité culinaire de salade composée traditionnelle de la cuisine niçoise, à ce jour répandue dans le monde entier sous de multiples variantes et adaptations. Elle constitue l'une des principales entrées des cuisines provençale et méditerranéenne, voire un repas à part entière.
La daube niçoises
Plat emblématique de la cuisine provençale, la daube vient du mot provençal adobar, signifiant « préparer » ou « arranger », faisant référence à la cuisson à l’étouffée des viandes dans la daubière traditionnelle. Outre la daube provençale « classique », chaque région, et même chaque famille possède ses propres variantes. La daube niçoise à la particularité d’incorporer en son sein des cèpes et d’être aromatisée au branda, l’eau-de-vie de marc de raisin provençale. On retrouve ensuite le bœuf (privilégiez un mélange de différents morceaux afin d’obtenir une meilleure consistance), le petit salé, le vin rouge, les carottes et les tomates ainsi que les différents ingrédients et aromates. Petit secret : comme pour tout plat mijoté, la daube est toujours meilleure après au moins un réchauffage ! Pensez à en préparer une grande quantité que vous ferez de nouveau mijoter pour fondre de plaisir.
La tourte aux blettes
La tourte de blettes (la torta de blea en niçois) est une spécialité culinaire niçoise à base de blettes, qui peut être servie aussi bien comme un plat, salé, que comme un dessert, sucré. Malgré la présence de blettes, il s'agit d'une pâtisserie, consommée froide ou tiède. Les feuilles de blettes finement hachées y sont mêlées entre autre à des pignons et raisins secs. La tourte se sert le plus souvent abondamment nappée de sucre glace.
La tourte aux blettes sucrée
Ce dessert emblématique de la région niçoise existe depuis le Moyen âge. En effet, à l’époque il existe de nombreuses recettes de “tourtes d’herbes”, des tourtes aussi bien sucrées que salées, dans lesquelles des légumes à feuilles de type épinard ou blette (appelés herbes) étaient utilisés. Au cours des siècles, les recettes évoluent et deviennent de plus en plus gourmandes. Par exemple, au XVIIIe siècle on trouve une tourte à base d’épinards, de sucre, d’amandes et d’écorces de citron confit. Même s’il existait une multitude de recettes de tourtes aux herbes, c’est la tourte de blettes qui est devenue l’emblème de la ville de Nice et de sa région. La pâte de cette tourte est réalisée avec une pâte sablée aux oeufs. Riche, cette pâte s’apprécie pour sa texture et son léger grain en bouche. Cette tourte est garnie des blettes mélangées à divers ingrédients, comme des raisins secs imbibés de rhum et des pignons qui donnent une saveur sucrée à ce dessert.
Les beignets " les ganses du carnaval de nice"
c'est la fête, le carnaval bat son plein à Nice et en cette période, on fait les ganses. cette recette est a prendre comme simple base car chacun peut la modifier selon ses goûts et ses envies. Il existe autant de variantes que de cuisinière. C'est une gourmandise "les ganes sont incontournables dans la cuisine niçoise qui portent aussi le nom de mervilles.